Comment choisir un consultant SEO E-commerce en 2026 ?
Après 10 ans à faire du SEO E-commerce, dont 3 ans chez Tediber, je vois régulièrement cette question passer : « Comment savoir si un consultant SEO est bon avant de signer ?«
La réponse courte : vérifiez ses résultats mesurables, testez sa compréhension de VOTRE secteur, et méfiez-vous des promesses vagues du type « première page Google garantie ».
Voici exactement ce que je regarde quand j’audite le travail d’autres consultants SEO et ce que vous devriez vérifier avant d’engager quelqu’un.
Sommaire de l’article
- Pourquoi vous avez (vraiment) besoin d’un consultant SEO spécialisé E-commerce
- Les 5 compétences non-négociables à vérifier
- Généraliste vs spécialiste E-commerce : mon avis tranché
- Comment vérifier les résultats réels (sans se faire enfumer)
- Les certifications SEO : utiles ou marketing ?
- Ce que j’aurais aimé savoir avant de choisir mon premier consultant
- FAQ : vos questions, mes réponses
- Comment je choisis mes clients
Pourquoi vous avez (vraiment) besoin d'un consultant SEO spécialisé E-commerce
Le SEO e-commerce n’est PAS du SEO « normal »
J’ai vu trop d’e-commerçants engager des consultants SEO généralistes qui appliquent des recettes de blog au E-commerce. Résultat ? Des coquilles vides, du trafic sans conversion et un business qui ne décolle pas.
Exemple concret : Un de mes clients (secteur mobilier) avait engagé un consultant qui lui conseillait de « créer du contenu de qualité ». Le site avait 2000 fiches produits en duplicate content et des pages de filtres (couleur, taille, prix) indexées à l’infini.
Le vrai problème ? Gestion du crawl budget et architecture SEO. Pas le contenu.
En 4 mois d’accompagnement, on a restructuré l’arborescence et désindexé 60% des pages inutiles. Résultat : +40% de trafic organique juste en laissant Google se concentrer sur les bonnes pages.
Les vrais défis SEO E-commerce en 2026
Ce qui compte vraiment :
- Gestion du budget crawl (sites >1000 produits)
- Architecture des facettes (filtres, tris, pagination)
- Optimisation des fiches produits (pas juste « ajouter des mots-clés »)
- Ruptures de stock (indexer, désindexer, rediriger ?)
- Core Web Vitals (images produits lourdes = killer)
- SEO pour LLMs (GEO) en plein émergence
Un consultant qui ne vous parle que de « backlinks » ou « contenu de qualité » et qui bredouille quand on lui parle du reste ? Ne sera probablement pas à la hauteur de vos attentes.
Et en 2026, vous ne pouvez plus vous trompez pour générer de la croissance au vue du contexte économique.
Les 5 compétences non-négociables à vérifier
1. SEO technique E-commerce (indispensable pour un gros site)
Posez cette question pointilleuse :
« Comment tu gères le crawl budget sur un site de 10 000 produits avec 50% de ruptures de stock temporaires ? »
Bonne réponse :
- Désindexation intelligente des ruptures longue durée (noindex ou HTTP 410)
- Garde les ruptures courtes indexées avec « bientôt disponible »
- Priorisation du crawl via un maillage interne stratégique
- Monitoring des logs serveur pour voir ce que Google crawle vraiment
Mauvaise réponse :
- « On va optimiser les meta descriptions »
- « Faut créer du contenu autour des produits »
- Regard vide
Mon approche : Je refuse tout projet E-commerce sans accès à minima à la Search Console ou ok pour l’installer.
2. Compréhension du funnel E-commerce (Hyper important pour la conversion et ma force)
Un bon consultant SEO E-commerce parle ROI et conversions, pas juste positions et trafic.
Cas client réel (Mode) :
Premier audit, le site était #1 sur ses mots clés marques, normal. Mais invisible sur ses mots clés hors marques et longue traine hyper chauds.
En 6 mois de réoptimisation sémantique :
- Trafic : +40%
- Mais surtout : CA organique : +50%
- Le trafic était bien plus qualifié
Pourquoi ? On a ciblé des mots-clés transactionnels longue traîne.
Question à poser :
« Comment tu priorises les mots-clés pour un E-commerce : volume ou intention ? »
Si la réponse est « volume », fuyez.
3. Maîtrise des outils (et pas que Semrush ou GA4)
Les outils que j’utilise quotidiennement :
- Search Console (données Google réelles, pas estimées)
- Screaming Frog (crawl technique)
- Haloscan / Ahrefs (recherche de mots-clés, backlinks)
- Google Analytics 4 (attribution trafic → CA)
Un consultant qui ne jure que par un seul outil est limité, tout autant que celui qui en possède des dizaines. Le SEO E-commerce nécessite une stack complète.
4. Connaissance du GEO (Generative Engine Optimization)
Nouveauté 2026 : être visible sur ChatGPT, Claude, Perplexity.
Exemple concret : Un client (agence digitale) n’était jamais cité quand on demandait à ChatGPT « meilleures agences pour créer un site à VILLE ». Ses concurrents, oui.
Actions menées :
- Ajout de données structurées (Organization, LocalBusiness, Product schema)
- Création de contenus « questions/réponses » avec FAQ schema
- Optimisation E-E-A-T (ajout avis clients, bios détaillées)
Résultat en 3 mois : Leads 3 fois plus qualifiés en provenance de ChatGPT.
Question à poser :
« Tu optimises uniquement pour Google ? »
Si le consultant ne jure que par Google, il se ferme des portes. Même si Google reste majoritaire pour la recherche et les achats E-commerce.
5. Transparence et pédagogie
Demandez au consultant d’expliquer sa stratégie à votre stagiaire en marketing.
S’il utilise du jargon incompréhensible ou refuse de détailler sa méthode (« secret professionnel »), c’est mauvais signe.
Ma philosophie : Je forme mes clients. Ils doivent comprendre ce que je fais et pourquoi. Transparence avant tout. Mon objectif est atteint quand mon client peut se débrouiller sans moi.
Généraliste vs spécialiste E-commerce : mon avis sans tabou
La question que mes clients et prospects se posent souvent : « Faut-il privilégier un consultant généraliste ou spécialisé E-commerce ? »
Ma réponse : spécialisé E-commerce. Sans hésiter.
Pourquoi ?
Un consultant généraliste peut être excellent pour :
- Un blog
- Un site vitrine
- Un site média
Mais le E-commerce a des problématiques uniques :
- Gestion de milliers de pages produits
- Duplicate content massif (variations de produits)
- Pages de filtres/facettes (indexer ou pas ?)
- Saisonnalité des produits
- Ruptures de stock
- Rich snippets produits (prix, avis, disponibilité)
Cas client (Décoration) :
Le client avait engagé un consultant généraliste qui lui a conseillé de « créer un blog ». Le blog a généré du trafic (+30%), mais 0 conversion (personnes cherchant des infos, pas à acheter).
=> Uniquement une cible froide et des contenu ToFu
Mon approche : on a optimisé les fiches produits principales (sémantique, images, structured data) et restructuré les collections. Résultat : +60% de CA organique en 6 mois sans un seul article de blog.
Le blog, c’est bien. Mais sur un E-commerce, les fiches produits et catégories sont la priorité absolue.
Une fois que cette base est bien propre on peut s’attaquer à un blog avec une stratégie hyper bien pensé pour toucher sa cible à différents moments du parcours d’achat.
Comment vérifier les résultats réels (sans se faire avoir) ?
Le portfolio ne suffit pas
N’importe qui peut mettre des chiffres dans un PDF :
- « Trafic +250% en 3 mois ! » ← De 100 à 350 visiteurs/mois, ça ne veut rien dire.
- Screenshots sans contexte
- Graphiques sans accès aux données réelles
Ce que je demande systématiquement avant de signer
1. Études de cas détaillées
Une vraie étude de cas contient :
- Contexte initial (problèmes identifiés)
- Actions menées (précises, pas « on a optimisé le site »)
- Résultats chiffrés avec timeline
- Screenshots Search Console/GA
Exemple de mon process :
Tous mes clients signent une autorisation pour que je partage les résultats anonymisés. Ça me permet de montrer des vrais audits à mes prospects.
2. Références clients contactables
Demandez 2-3 contacts de clients récents. Posez-leur :
- « Les résultats promis ont-ils été atteints ? »
- « Le consultant respecte-t-il les délais ? »
- « La communication est-elle fluide ? »
- « Referiez-vous appel à lui/elle ? »
Si le consultant refuse, c’est un red flag énorme.
Les certifications SEO : utiles ou marketing ?
Question récurrente : « Quelles certifications ou formations vérifier chez un consultant SEO ? »
Ma réponse honnête : les certifications, c’est secondaire.
Pourquoi ?
Il n’existe pas de certification SEO reconnue comme en comptabilité ou médecine.
Les certifications Google (Analytics, Ads, Search) prouvent que vous avez suivi une formation Google. C’est bien, mais :
- Ça ne garantit pas l’expertise terrain
- Ça ne remplace pas 10 ans d’expérience
- Certains des meilleurs SEO que je connais n’ont aucune certification
Ce qui compte vraiment
1. L’expérience mesurable
- Combien d’années en SEO E-commerce spécifiquement ?
- Combien de projets E-commerce menés à terme ?
- Résultats chiffrés disponibles ?
- Side project ?
- Autodidacte ?
2. La veille permanente
- Veille continue ?
- Suit-il les mises à jour algorithmiques ?
- Connaît-il les dernières tendances (GEO, AI Overviews) ?
3. La capacité à s’adapter
- Le SEO change tous les 6 mois
- Un consultant figé sur des techniques 2020 est obsolète
Mon parcours :
10 ans d’expérience, dont 3 ans chez Tediber (scale-up E-commerce). Zéro certification officielle en SEO, une formation en-cours. Mais des résultats mesurables sur 20+ projets E-commerce.
Ce que je vous recommande de vérifier vraiment : La capacité à analyser, diagnostiquer, et proposer des solutions adaptées. Pas un diplôme.
Ce que j'aurais aimé savoir avant de choisir mon premier consultant (en étant côté client) ?
Erreur 1 : Choisir sur le prix
Le piège : « Ce freelance propose 300€/mois, l’autre 900€/mois. Je prends le moins cher. »
La réalité : En SEO, vous payez pour l’expertise ET le temps.
À 300€/mois, le consultant peut vous consacrer maximum 3-4h (si il se valorise à 75€/h). Sur un site E-commerce complexe, ce n’est pas suffisant.
Mes tarifs (pour comparaison) :
- Audit SEO ponctuel : à partir de 1000€
- Accompagnement mensuel sur-mesure : à partir de 800€/mois suivant la complexité
- Maintenance : 600€/mois (pour sites déjà optimisés)
Pourquoi ? Parce qu’un audit E-commerce sérieux me prend 15-20h. Un suivi mensuel efficace : 10-12h/mois minimum.
Erreur 2 : Ne pas définir les KPIs avant de commencer
Le piège : « On verra bien où on en est dans 6 mois. »
La réalité : Sans KPIs clairs, impossible de mesurer le succès.
Mes KPIs systématiques :
- Trafic organique (sessions)
- Positions sur mots-clés prioritaires
- CA généré par le trafic organique & hors marque (le plus important)
- Taux de conversion organique & hors marque
- Pages indexées (pour sites >1000 pages)
Je les traque dans un Google Sheet partagé, mis à jour mensuellement.
Pour récupérer la donnée je croise mes outils et GA4, GSC client. J’ai également des scripts qui me permettent de pousser davantage mes analyses.
Erreur 3 : Attendre des résultats en 1 mois
Le piège : « Le consultant promet des résultats en 30 jours ! »
La réalité : Le SEO prend du temps. Point.
Timeline réaliste :
- Mois 1-2 : Audit, stratégie, quick wins techniques
- Mois 3-4 : Premiers résultats visibles (+10-20% trafic)
- Mois 6+ : Résultats significatifs (+30-80% selon secteur)
Tout consultant qui vous garantit la 1ère position en 1 mois ment. Ou fait du black hat (technique interdite par Google = risque de pénalité).
FAQ
Autres questions : Choisir un ou une consultant.e SEO en 2026
Combien coûte un consultant SEO e-commerce en France en 2025 ?
Fourchettes réalistes :
- Freelance junior (1-3 ans) : 400-800€/mois
- Freelance expérimenté (5-10 ans) : 1200-2500€/mois
- Agence : 2000-5000€/mois
Mon conseil : Méfiez-vous des tarifs < 500€/mois. C’est soit un débutant, soit quelqu’un qui prend trop de clients et ne peut pas être efficace.
Ce que j’inclus dans mes 1300€/mois :
- Audit technique
- Stratégie sémantique (nouveaux mots-clés)
- Briefs de création de contenu et repasse
- Sujet SEO
- Maillage interne
- Netlinking
- Suivi positions + trafic + CA
- 1 point mensuel (1h)
Quelle est la différence de prix entre un freelance et une agence SEO ?
Freelance :
- ✅ Prix : 30-50% moins cher qu’une agence
- ✅ Interlocuteur unique
- ✅ Flexibilité
- ❌ Capacité limitée (1 personne)
Agence :
- ✅ Équipe complète (technique, contenu, netlinking)
- ✅ Continuité (pas de vacances qui bloquent tout)
- ❌ Prix : 2x à 3x plus cher
- ❌ Souvent plusieurs interlocuteurs
Mon cas : Je suis freelance mais je collabore avec des partenaires (développeurs, rédacteurs) sur les gros projets. Le client a un interlocuteur unique (moi) mais bénéficie d’une équipe.
Combien de temps pour voir des résultats SEO sur un site E-commerce ?
Réponse honnête : 3 à 6 mois minimum.
Timeline typique (selon mon expérience sur 50+ projets) :
Mois 1-2 : Quick wins
- Corrections techniques (crawl, indexation)
- Optimisation titles/meta
- Résultat : +5-15% trafic
Mois 3-4 : Optimisations structurelles
- Refonte arborescence
- Optimisation sémantique fiches produits
- Résultat : +20-40% trafic
Mois 6+ : Effets long terme
- Contenu + netlinking
- Autorité domaine renforcée
- Résultat : +50-150% trafic (selon secteur et concurrence)
Cas rare : Un client (formation à distance) a vu +80% de trafic dès le mois 3 car le site avait d’énormes problèmes techniques faciles à corriger. Mais c’est rare.
Un consultant SEO peut-il gérer un gros site E-commerce seul (>5000 produits) ?
Ça dépend de la phase du projet.
Phase audit + stratégie (mois 1-3) :
Oui, un bon freelance peut gérer seul.
Phase exécution (mois 4+) :
Besoin d’une équipe :
- Consultant SEO (stratégie, pilotage)
- Développeur (implémentation technique)
- Rédacteur (contenu à l’échelle)
- (Optionnel) Spécialiste netlinking
Mon approche :
Sur les gros catalogues, je pilote mais je fais appel à des partenaires pour l’exécution. Le client paie mon temps de stratégie/pilotage + les intervenants (facturés séparément ou via moi).
Ou bien le client a déjà une équipe en interne et auquel cas je les forme pour assurer la bonne continuité des projets.
Comment vérifier qu'un consultant SEO connaît vraiment mon secteur ?
Posez ces questions spécifiques à votre secteur :
Mode/Fashion :
- « Comment tu gères le SEO des collections saisonnières qui changent tous les 3 mois ? »
- « Stratégie pour les variations produit (taille, couleur) : 1 URL ou plusieurs ? »
Alimentation/Food :
- « Comment optimiser pour les requêtes locales + livraison ? »
- « SEO des recettes vs SEO des produits : même stratégie ? »
Décoration/Mobilier :
- « Gestion SEO des visuels 3D / configurateurs produit ? »
- « Comment ranker sur ‘canapé cuir marron 3 places’ sans keyword stuffing ? »
Si le consultant répond avec des généralités, il n’a pas d’expérience dans votre secteur.
Mon expérience sectorielle :
- E-commerce mobilier/déco (4 clients)
- Mode/lifestyle (6 clients)
- Alimentation (3 clients dont 1 bio premium)
- Bijouterie/joaillerie (2 clients)
Je ne prends plus de missions dans des secteurs que je ne connais pas (ex: auto, assurance).
Un consultant SEO doit-il garantir des résultats ?
Non. Et méfiez-vous de ceux qui le font.
Pourquoi aucun consultant sérieux ne garantit de résultats :
- Google change ses algorithmes en permanence
- La concurrence évolue
- Trop de facteurs externes (saisonnalité, marché, budget)
Ce qu’un bon consultant PEUT garantir :
- ✅ Méthode éprouvée
- ✅ Reporting transparent
- ✅ Respect des délais
- ✅ Réactivité
- ✅ Absence de techniques black hat
Ce que je garantis à mes clients :
- Un audit complet en 15 jours
- Un plan d’action priorisé (quick wins vs long terme)
- Un suivi mensuel avec data réelle (pas d’estimations)
- Disponibilité (réponse sous 48h max)
Ce que je ne garantis PAS :
- « Vous serez 1er sur Google »
- « Doublement du trafic garanti »
- Tout résultat chiffré précis
Faut-il un consultant SEO si j'ai déjà une agence web/marketing ?
Ça dépend de l’expertise SEO de l’agence.
Questions à poser à votre agence actuelle :
- « Qui s’occupe du SEO dans votre équipe ? » (nom + expérience)
- « Combien de temps par mois vous consacrez à mon SEO ? » (heures réelles)
- « Pouvez-vous me montrer l’évolution de mon trafic organique ces 6 derniers mois ? »
Red flags :
- « On fait du SEO en plus du site » (= pas de spécialiste)
- « On optimise les meta descriptions » (= SEO 2015)
- Incapables de montrer Search Console
Mon expérience : 30% de mes clients viennent d’agences web qui sous-traitent le SEO à des spécialistes. C’est normal et sain.
Une bonne agence web fait : Design, développement, UX.
Un bon consultant SEO fait : Stratégie organique, technique SEO, contenu optimisé.
Ce sont 2 métiers différents.
Peut-on faire du SEO E-commerce sans créer de contenu (blog, guides) ?
Oui, absolument.
Contrairement aux idées reçues, le blog n’est PAS obligatoire sur un E-commerce.
Priorités SEO E-commerce (dans l’ordre) :
- Technique (indexation, crawl, vitesse) : 30% de l’impact
- Fiches produits optimisées (sémantique, images, schema) : 40%
- Architecture & maillage interne : 20%
- Contenu éditorial (blog) : 10%
Cas client (ameublement haut de gamme) :
Zéro article de blog. Uniquement :
- 100 fiches produits optimisées
- 30 pages collections restructurées
- Données structurées Product + Organization
- Maillage interne optimisé
Résultat en 6 mois : Le SEO est premier canal d’acquisition.
Quand le blog devient utile :
- Secteur très concurrentiel (besoin de se différencier)
- Produits complexes nécessitant éducation (ex: matelas, compléments alimentaires)
- Stratégie de personal branding
Mon approche : Je conseille le blog seulement si les fondamentaux (technique + fiches produits) sont déjà au top. Sinon, c’est une perte de temps. Dans certains cas cependant cela peut être vraiment pertinent.
Comment je choisis mes clients (et pourquoi ça devrait vous intéresser)
Une dernière chose importante :
Je refuse 40% des demandes que je reçois. Pas par snobisme, mais parce que le SEO ne fonctionne que si le client est impliqué.
Je ne prends un projet que si :
- ✅ Vous avez un budget réaliste (>=800€/mois pour un accompagnement sérieux)
- ✅ Vous comprenez que le SEO prend 6+ mois
- ✅ Vous êtes prêt à implémenter mes recommandations (ou à payer un dev pour le faire)
- ✅ Votre site a un minimum de fondations (pas un site Wix gratuit avec 10 produits)
Je refuse si :
- ❌ Vous voulez des résultats en 1 mois
- ❌ Vous cherchez juste « quelqu’un pour faire du SEO » sans comprendre ce que c’est
- ❌ Vous n’avez aucun accès admin (site géré par une agence qui refuse de partager)
- ❌ Vous avez déjà fait du black hat et votre site est pénalisé
Pourquoi je vous dis ça ?
Parce que choisir un consultant SEO, c’est comme choisir un co-pilote. Si vous ne lui faites pas confiance ou si vous ne comprenez pas où il vous emmène, ça ne marchera jamais.
Questions avant de me contacter :
- Avez-vous accès Google Analytics + Search Console ?
- Quel est votre budget mensuel réaliste pour le SEO ?
- Quel est votre objectif chiffré (trafic, CA) dans 6 mois ?
- Êtes-vous prêt à investir dans des corrections techniques si nécessaire ?
Si vous pouvez répondre à ces 4 questions, on peut discuter.
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Mon approche est orientée ROI, c’est-à-dire que je ne me concentre pas uniquement sur l’acquisition de trafic qualifié mais également sur la transformation.
Chaque action est suivie et mesurée afin d’identifier son impact business. Le SEO devient un véritable pilier de votre croissance.
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